LA PÊCHE CÔTIÈRE
Que cela soit en bateau ou partir des rivages, qu'il s'agisse des thons, des marlins ou des roussettes, qu'ils s'agissent de ces gros poissons ou de prises poissons plus raisonnables comme les daurades, les liches et autres fritures du littoral, la pêche en mer sera toujours l'évasion idéale pour ceux qui veulent échapper aux contraintes de notre temps, celui de la vitesse: tout... tout de suite !
Comme aucun autre sport ne pourrait le faire, ces pêches iodées nous comblent de richesses sans égales Nous recherchons tous le besoin légitime de rechercher, pour pêcher, des secteurs calmes, peu peuplés, loin de toute urbanisation. Les poissons, peu dérangés, y sont naturellement plus faciles à capturer et cette tranquillité est une richesse appréciable.
Pourtant, certains aménagement littoraux ou portuaires, comme ceux des bancs de sable proches des capitaineries, ont créés des postes fameux qu'exploitent bien sur les pêcheurs autochtones. Les bancs de sable recèlent des coquillages en grande quantité. On le constate en observant les amoncellements de coquilles vides accumulées par les rejets de la mer. De ce fait, les daurades y viennent régulièrement d'avril à octobre. En tout temps, maus plus particulièrement quand la mer se soulève par vents de sud-est, les loups s'approchent aux ras des ouvrages de ces secteurs portaires.
Par temps "calme" il est facile de pêcher de la digue à la calée ou en suf casting léger avec des vers américains, vers de chaluts, escabennes et couteaux.

Des digues, c'est au couteau que vous aurez le plus de chance de toucher les bars.