| GARDON |
| 2 parts |
attractor |
| 2 parts |
biscuits sucrés |
| 1/4 part |
cabelasse (ou macis) |
| 4 parts |
chapelure rousse grillée |
| 2 parts |
PV1 |
| 2 parts |
tourteaux de maïs |
|
Canal à petit gabarit
Dans les petits canaux navigables, de 20 à 30 mètres de large, les poissons se tiennent plutôt au milieu du canal, que naviguent ou pas des péniches. Une berge très encombrée, sans chemin de promenade et sans ombre qui passe (cyclistes ou joggeurs) est parfaite car le gardon s’y sent en parfaite sécurité.
Autre poste à ne pas négliger, une péniche amarrée depuis plusieurs jours.
Il faut aussi tenir compte de la frilosité des gardons et dans ces petits canaux une pêche à l’agrainage est souvent bien plus payante qu’une pêche d’amorces au rappel et dans ces conditions vous ferez pêche très certainement.
Eventuellement privilégiez un amorçage discret car l’absence quasi-totale de courant permet l’utilisation d’amorces légères à particules fines. Vous pourrez même ajouter de la terre de Somme pour appauvrir votre mélange si la pêche est vraiment difficile en hiver.
Quoi qu’il en soit, un amorçage lourd est à éviter dans ces parcours aux eaux calmes, ceci aura pour effet de faire fuir le poisson.
Tactique pour la pêche du gardon en étang
Indéniablement, le gardon est le poisson le plus pêché en France. En étang, il est le roi des plans d’eau et les amateurs se pressent tous les week-end pour tenter de faire de belles bourriches de « Rutilus rutilus ».
Joli de forme et de couleurs, le gardon est sympathique, donc bien aimé.
La pêche de bordure
Le choix du coup en bordure est souvent difficile et son strict aménagement est important.
Vous supprimerez discrètement les herbes ou une branche gênante, pas plus. Ne cherchez pas à modifier l’environnement, le gardon se méfiera immédiatement ; et puisqu’il est si méfiant, n‘utilisez pas d’amorces trop claires.
La pêche sous la canne
L’étang cache de nombreux pièges que le pêcheur doit appréhender. Sous la canne de 11 ou 13 mètres, le vent provoque un courant de surface qui s’inverse sous l’eau.
D’où la difficulté de présenter correctement l’appât à la vue du poisson sans qu’il se méfie. Choisissez scrupuleusement votre poste pour pallier à ce piège. |
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